Professionnel(s) mentionné(s)
Associé, Droit des sociétés, Montréal
Le contexte économique, combiné à l’impôt sur le gain en capital proposé par l’administration du président américain Joseph Biden, a créé des occasions favorables d’acquisition. Hélène Baril, journaliste à La Presse, s’est entretenue avec Niko Veilleux, associé au sein du groupe de Droit des sociétés d’Osler, des opportunités qui se présentent.
Les gens peuvent emprunter pour presque rien », dit Niko. « Il y a beaucoup d’argent dans le marché. Il y a un virage technologique qui s’accélère, des gens prêts à prendre des risques et un haut niveau de confiance envers l’avenir. »
Du côté des achats, les entreprises qui ont bien géré leur bilan pendant la pandémie sont dans une position favorable. La remontée du dollar canadien rend également les acquisitions aux États-Unis plus abordables.
Du côté des vendeurs, on s’attend à ce que les baby-boomers et les entrepreneurs en fin de carrière veuillent vendre leur entreprise dès maintenant pour récupérer le maximum de leur investissement.
« Les clients sont à l’affût de transactions », affirme Niko, qui souligne que les acquisitions se ont pu se conclure en pleine crise malgré la difficulté de se déplacer pour aller voir et inspecter les actifs convoités.
« Tous les professionnels du milieu, qu’ils soient avocats, banquiers ou fiscalistes, seront encore très occupés cet été. »
Lisez l'article complet publié dans La Presse le 8 mai 2021
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