Dans un article publié récemment dans ABC National, la publication périodique de l’Association du Barreau canadien, Agnese Smith se penche sur la popularité grandissante de la technologie des chaînes de blocs et explore la possibilité que la plateforme soit adoptée à grande échelle, ce qui exigerait d’éliminer les tiers et intermédiaires de confiance, notamment des banquiers, des gouvernements et des réseaux sociaux. À l’heure actuelle, les chaînes de blocs doivent relever plusieurs défis d’ordre technique, comme la capacité de les déployer à grande échelle, qui nuisent à son adoption. Mme Smith aborde les possibilités des blocs de chaînes publiques ou sans permission, qu’elle décrit comme un « moyen d’entreposer des données sur un registre public », qui est validé par plusieurs ordinateurs non reliés dans l’objectif de créer un « un registre sécuritaire, vérifiable et permanent des transactions ». À l’heure actuelle, l’exemple le plus courant des chaînes de blocs sans permission est le bitcoin. Dans l’article, Wendy Gross, coprésidente du groupe de la Technologie d’Osler à Toronto, se prononce sur l’avenir des chaînes de blocs publiques.
Elle explique que les chaînes de blocs sans permission ont « capté l’attention du public en raison de leur potentiel de transformation. Mais actuellement, au-delà des cryptomonnaies et d’applications reliées, on ne voit pas beaucoup de cas de mise en œuvre ou d’adoption marquée de chaînes de blocs sans permission. »
Pour en apprendre davantage sur les chaînes de blocs, lisez l’article complet d’Agnese Smith, intitulé « Devrions-nous vraiment faire confiance au blockchain? », sur le site Web d’ABC National.