Professionnel(s) mentionné(s)
Associé, Droit des sociétés, Toronto
Dans de nombreuses régions du monde, les investisseurs font pression sur les supermarchés et les fournisseurs de produits alimentaires pour les inciter à offrir des aliments plus sains et moins de malbouffe, laquelle est liée à l’augmentation de l’obésité et à des maladies graves. Andrew MacDougall, associé du groupe de pratique du droit des sociétés d’Osler, a déclaré à ABC National, la publication en ligne de l’Association du Barreau canadien, qu’il est peu probable, du moins pour le moment, que les géants canadiens de l’alimentation soient appelés à divulguer leurs chiffres de vente tirés de la malbouffe, comme on le demande aux fournisseurs de produits alimentaires dans d’autres territoires.
« Cette question risque fort de ne pas prendre trop d’ampleur au Canada », indique Andrew. « Il serait important que les détaillants se montrent réceptifs à la nécessité d’offrir des aliments sains, mais je ne vois pas quel avantage particulier les investisseurs pourraient tirer de la divulgation de ces chiffres de vente. »
« Nous verrons si un élément vient provoquer des changements au Canada », a-t-il ajouté.
La pandémie a mis en évidence le rôle essentiel du secteur alimentaire pour assurer la santé de la population. Près de deux tiers des Canadiens sont aux prises avec l’obésité, ce qui pose un risque accru pour leur santé.
Pour en savoir plus, lisez l’article complet d’Agnese Smith, intitulé « Pushing for healthier choices » (en anglais seulement), sur le site Web ABC National.
Professionnel(s) mentionné(s)
Associé, Droit des sociétés, Toronto