Dans les médias

Les bâtiments commerciaux sont vides mais nécessitent encore de l’entretien – The Globe and Mail

22 Avr 2020 2 MIN DE LECTURE
Professionnel(s) mentionné(s)
Yan A. Besner

Associé, Droit immobilier, Montréal

Un article récent du Globe and Mail examine les effets de la pandémie du coronavirus sur le secteur de l'immobilier commercial, notamment sur les routines quotidiennes requises pour s'occuper des immeubles commerciaux. Comme le rapporte l'auteure Jennifer Lewington, les propriétaires et les gestionnaires immobiliers « [Traduction] réécrivent leurs manuels pour protéger les bâtiments dès maintenant et les préparer à la réoccupation après un signal clair des gouvernements ».

Avec des bâtiments en « hibernation » forcée, tel que décrits par un représentant de l’industrie, les obligations légales des propriétaires et des locataires restent inchangées, explique Yan Besner, un partenaire du groupe d'immobilier d'Osler, au Globe and Mail.

« [Traduction] Vous devez vous assurer de maintenir la propriété en bon état de fonctionnement pour que, lorsque les choses reviendront à la normale, quelle que soit cette nouvelle normalité, les lumières puissent être rallumées, au sens propre et figuré, sans problème », explique Yan. Les propriétaires et les locataires d'immeubles situés dans plusieurs provinces, ajoute-t-il, doivent remplir leurs obligations contractuelles respectives tout en se tenant au courant des directives gouvernementales relatives au virus.

« [Traduction] Il faut espérer que les deux parties feront preuve de bonne foi et s'entendront sur la façon de procéder, » dit-il. À cet égard, une communication efficace est essentielle pour gérer la perturbation actuelle.

Pour plus d'informations, nous vous référons à l'article complet de Jennifer Lewington, "Commercial buildings are empty but still require maintenance" dans le Globe and Mail (disponible en anglais seulement). 

Professionnel(s) mentionné(s)
Yan A. Besner

Associé, Droit immobilier, Montréal