Un article paru dans Investment Executive explore la manière dont les organismes de réglementation des valeurs mobilières s’adaptent à l’utilisation de la technologie et accélèrent les travaux liés à la technologie financière pendant la pandémie COVID-19. Dans son article, l’auteur Fiona Collie explique comment les signatures électroniques et l’intelligence artificielle sont devenues de plus en plus importantes tout au long de la pandémie et quelles en sont les conséquences les organismes de réglementation. Elle cite la façon dont l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) a émis une dispense pour les signatures des clients ainsi que pour d’autres questions, tandis que l’Association canadienne des courtiers de fonds mutuels (ACCFM) a mis à jour ses directives sur les signatures électroniques en juin 2020.
L’article traite également de l’accent mis par les ACVM sur les tendances numériques émergentes, donnant comme exemple l’initiative du bac à sable réglementaire de cette dernière. Selon l’article, « le bac à sable lancé en 2017 a pour mandat de permettre aux entreprises de services financiers de tester des produits et services innovants tout en maintenant les mesures de protection des investisseurs ».
Lori Stein, une associée du groupe Fonds d’investissement et gestion de l’actif d’Osler, a participé à une application de Wealthsimple Digital Assets Inc – une plateforme de négociation de cryptoactifs de Toronto – pour accéder au bac à sable. Lori affirme que les organismes de réglementation « ont été réactifs et flexibles » tout au long du processus.
Pour plus de renseignements, lisez l’article de Fiona Collie intitulé « Regulators try to boost fintech adoption » (en anglais seulement) dans le numéro du 23 novembre 2020 de Investment Executive.