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Associé, Sociétés émergentes et à forte croissance, Toronto
L’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique sont devenus des aspects essentiels des conventions commerciales et commencent à prendre plus de place dans le secteur des soins de santé. Dans un article publié récemment dans le numéro spécial de Lexpert : Technologie et sciences de la santé (en anglais seulement), la rédactrice Zena Olijnyk analyse certaines applications de l’IA et de l’apprentissage automatique dans le secteur des soins de santé et aborde l’équilibre à maintenir entre le recours optimal à des technologies d’IA et la prise en compte d’enjeux liés à la confidentialité et à l’utilisation de données. Mme Olijnyk a ainsi consulté Chad Bayne, associé du groupe des sociétés émergentes et à forte croissance d’Osler, pour se renseigner sur ce sujet.
Pour mettre en contexte, Chad indique ceci : « Nous avons constaté que l’application de l’IA et de l’apprentissage ne concernait plus que les sociétés des technologies de l’information : les sociétés qui offrent des soins de santé y ont aussi recours pour régler des problèmes liés aux soins de santé. » Il explique également que les domaines d’application vont des dispositifs et des traitements médicaux à la gestion et au triage des patients.
Chad se prononce également sur l’enjeu lié à l’utilisation des données obtenues par les systèmes d’IA et sur la possibilité d’avoir à obtenir un consentement. Il souligne que les organisations qui détiennent des données en autorisent souvent l’accès en se disant qu’elles ne sont pas utilisées à des fins commerciales. « Mais dès que l’on franchit la limite d’une utilisation potentiellement à des fins commerciales, il faut envisager de peut-être prendre un pas de recul et de demander un consentement éclairé. »
Il explique que lorsqu’il conseille ses clients – souvent des entreprises en démarrage et des fonds de capital-risque – il pose de nombreuses questions afin de dresser un portrait clair de la nature des données et de leur utilisation, ainsi que pour savoir si l’innovation proposée améliorera la norme de traitement : « les données permettront-elles d’augmenter de manière significative l’espérance de vie? Amélioreront-elles la qualité de vie? Procureront-elles au patient plus de confort? »
Pour en savoir plus, lisez l’article complet de Zena Olijnyk, intitulé « Advances in AI and machine learning could lead to better health care: lawyers » (en anglais seulement) dans le numéro spécial de Lexpert : Technologie et sciences de la santé du 15 juin 2022.
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Associé, Sociétés émergentes et à forte croissance, Toronto