Selon un article publié récemment par Bev Cline dans Lexpert, on constate des progrès, quoique lents, dans l’augmentation de la mixité des conseils d’administration des sociétés cotées en bourse au Canada. Compte tenu du principe « se conformer ou s’expliquer » du Canada, les sociétés s’efforcent de nommer plus de femmes au sein de leurs conseils d’administration, les institutions financières et les banques ouvrant la marche. Mme Cline a consulté un certain nombre d’avocats au sujet de la mixité des conseils, notamment l’associée d’Osler Noralee Bradley, qui commente le processus visant à trouver des femmes compétentes pouvant siéger au conseil.
[traduction] « S’assurer d’obtenir une liste mixte de candidats peut nécessiter plus de temps et de ressources, affirme-t-elle, mais je crois que les conseils sont agréablement surpris des résultats. Il y a beaucoup de femmes talentueuses, il suffit de les chercher. »
Noralee précise également que les entreprises canadiennes acceptent mieux le besoin de diversité et adoptent une approche de plus en plus « constructive » depuis quelques années.
[traduction] « Lorsque le modèle “se conformer ou s’expliquer” a été adopté, beaucoup d’entreprises étaient agacées par les questions de diversité, commente-t-elle. Désormais, nos clients ajoutent spontanément ce point à l’ordre du jour et nous demandent plutôt comment accéder à ces talents. Ils cherchent à se conformer plutôt qu’à déterminer le strict minimum à divulguer pour “s’expliquer”. »
Lisez dans son intégralité l’article « Progress begets progress » (en anglais seulement) de Bev Cline dans Lexpert.