Craig Lockwood
1er septembre 2016
Dans un récent article publié dans le numéro Annual Student Recruitment Special de Lexpert, il est question du changement important qui est apporté à la façon d’attirer les meilleurs étudiants. De moins en moins d’étudiants se joignent à un cabinet d’avocats dans le but de devenir un jour associés. Certains cherchent plutôt à y faire leur apprentissage et à se servir de l’expérience acquise comme tremplin pour saisir d’autres occasions de carrière. Par conséquent, les cabinets d’avocats modifient leurs stratégies de perfectionnement professionnel et de recrutement en offrant notamment aux étudiants la chance de travailler très tôt à des dossiers d’envergure. Dans l’article intitulé Attracting the best, Craig Lockwood associé en litige, et Lauren Hulme, sociétaire, tous deux du cabinet Osler, donnent un aperçu de cette nouvelle réalité tant du point de vue des cabinets que de celui des étudiants.
« Il s’agit d’un marché différent », explique Craig Lockwood, président du comité des étudiants du bureau de Toronto d’Osler. « L’époque où la trajectoire des avocats menait essentiellement au statut d’associé en l’espace de 10 ans est révolue. Nous constatons que de nombreux étudiants commencent leur carrière à Bay Street sans avoir l’intention d’y demeurer, leurs sujets d’intérêt étant nombreux ».
Craig Lockwood ajoute que les étudiants souhaitent « mettre la main à la pâte » dès le départ. « Nous les faisons participer à de vrais dossiers clients afin qu’ils soient des membres à part entière du cabinet dès leur arrivée. »
Lauren Hulme confirme que cette approche aide les cabinets à attirer les étudiants. « C’est important pour moi que le cabinet au sein duquel je travaille ait des clients canadiens et internationaux importants et participe à titre de conseiller à des opérations d’envergure », souligne-t-elle.
Nous vous invitons à lire dans son intégralité l’article Attracting the best, publié dans le numéro de juillet-août 2016 du magazine Lexpert.