Les conventions de soutien au crédit sont scrutées à la loupe compte tenu des pressions visant à écarter les risques – Financial Post

17 mai 2016

Les sociétés pétrolières et gazières scrutent à la loupe la solvabilité de partenaires d’affaires potentiels. Ces sociétés veulent limiter les risques de crédit associés à l'établissement d'une coentreprise afin de protéger leurs activités ainsi que leurs actifs. Dans un article paru dans le Financial Post, Drew Hasselback analyse la façon dont les avocats de ces sociétés travaillent à réduire les risques financiers.

L’une des façons d’y parvenir est la restructuration des conventions de soutien au crédit pour y inclure des modalités qui protègent les clients. Janice Buckingham, chef de la pratique du droit pétrolier et gazier et co-responsable de la pratique du droit de l’énergie d’Osler, a déclaré (traduction) : « un certain nombre de ces outils existent depuis fort longtemps. On y pense davantage aujourd’hui à cause des risques de marché accrus. »

Le soutien au crédit est particulièrement important pour les arrangements à long terme. Pour apaiser les craintes, de nombreuses sociétés exigent des paiements préalables avant de conclure une opération, tandis que d’autres commencent à limiter la disponibilité de droits en fonction de la notation d’un partenaire d’affaires potentiel. Certaines sociétés empêchent même des parties de céder leurs droits à une société non concernée par l'opération. 

Lisez l’article intégral intitulé « Credit support agreements under microscope amid pressure to derisk » dans le Financial Post.