Osler trône au sommet des classements des opérations canadiennes de fusion et acquisition pour le premier semestre de 2016

12 juillet 2016

Osler trône au sommet des classements des opérations canadiennes de fusion et acquisition pour le premier semestre de 2016 publiés par Thomson Reuters, Bloomberg et Mergermarket. Rappelons que le cabinet a occupé la première position dans ce secteur tout au cours de l’année 2015.

Selon Thomson Reuters, la valeur de l’activité comprenant une participation canadienne s’est élevée à 108 milliards de dollars américains au cours du premier semestre de l’année, une baisse de 22 % par rapport à la même période en 2015. Pour sa part, Osler a agi à titre de conseiller dans le cadre de 42 opérations d’une valeur totale de 37 milliards de dollars américains. Au nombre des opérations d’envergure réalisées durant le premier semestre de 2016, mentionnons l’achat de Shaw Media auprès de Shaw Communications par Corus Entertainment au coût de 2,65 milliards de dollars, la disposition par la société Husky Energy de sa participation dans certains actifs intermédiaires pour un montant de 1,7 milliard de dollars, et l’entente d’iCON Infrastructure visant à acquérir Capstone Infrastructure au coût de 480 millions de dollars.

Faits saillants des classements d’Osler au premier semestre de 2016 :

  • Cabinet d’avocats canadien n1 selon Thomson Reuters en ce qui a trait aux opérations annoncées (en fonction de la valeur) et n2 (en fonction du nombre d’opérations)

  • Cabinet d’avocats n1 selon Bloomberg en ce qui a trait aux opérations canadiennes annoncées (en fonction de la valeur)

  • Cabinet d’avocats n1 selon Mergermarket en ce qui concerne les opérations canadiennes annoncées (en fonction de la valeur)

Comptant des bureaux à Toronto, à Montréal, à Calgary, à Ottawa, à Vancouver et à New York, Osler se classe régulièrement au nombre des cabinets d’avocats de premier plan dans le domaine des fusions et acquisitions au Canada. Nous conseillons des sociétés ouvertes et fermées, des compagnies émergentes et de jeunes entreprises, ainsi que des conglomérats mondiaux, des promoteurs de fonds de capital d’investissement, des fonds de retraite, des fonds souverains et des conseillers financiers dans le cadre d’opérations nationales, transfrontalières et internationales.