Tendances et changements à venir en 2019 pour les promoteurs de régimes de retraite – Canadian Investment Review

Le 28 décembre 2018

Jana Steele, associée chez Osler, a déclaré à Canadian Investment Review qu’elle ne s’attend pas à ce que les régimes à prestations déterminées changent leur formule de coordination, même si des améliorations seront apportées au Régime de pensions du Canada (RPC) et au Régime des rentes du Québec (RRQ) en 2019. Dans son article, l’auteure Yaelle Gang examine les changements et les tendances qui prendront effet en 2019 dans l’univers des régimes de retraite, incluant le RPC et le RRQ. Jana Steele, associée d’Osler au sein du groupe Régimes de retraite et avantages sociaux, poursuit.

« Nous n’avons pas vu beaucoup de promoteurs tenter d’apporter des changements pour les besoins de la coordination, a-t-elle déclaré à Canadian Investment Review. Je ne m’attends pas à ce qu’ils le fassent. » Jana ajoute qu’elle croit que « les employeurs soucieux des coûts chercheront plutôt à les contrôler par d’autres éléments des conditions de rémunération ».

Jana déclare que parmi les tendances à surveiller en 2019, on note « les changements sur le plan de la conception et des options de l’offre ».

« Je suis d’avis que l’innovation en matière de conception continuera d’être importante, parce qu’il y a eu beaucoup de pression et de discussions en ce sens, explique-t-elle à Canadian Investment Review. De même, je pense que les promoteurs sont très intéressés par les produits d’épargne-retraite, nouveaux et novateurs, offerts par des fournisseurs tiers, pour que les employeurs n’aient pas à agir en tant qu’administrateurs. »

Jana a également dit s’attendre à ce que les consolidations soient une tendance clé de 2019, « c’est-à-dire que plusieurs régimes à employeur unique cherchent à se fusionner avec des régimes de retraite conjoints agréés ».

Pour plus de renseignements, lisez l’article de Yaelle Gang intitulé « Trends and changes for pension plan sponsors heading into 2019 » (en anglais seulement), dans le numéro du 28 décembre 2018 de Canadian Investment Review.