Une mauvaise entente sur l’ALENA? Le Canada devrait saisir l’occasion et ne plus la lâcher. — The Globe and Mail

Le 20 septembre 2018

Peter Glossop, associé chez Osler, affirme que ne pas avoir d’entente sur l’ALENA est le pire des scénarios, alors que le Canada et les États-Unis tentent de régler les problèmes en suspens faisant toujours obstacle à une nouvelle entente. Dans son article, l’auteur John Ibbitson tente de déterminer si une mauvaise entente serait mieux ou pire pour le Canada qu’aucune entente.    L’article décrit les défis posés par le processus de négociation et fait ressortir ce qu’il adviendrait si le Canada et les États-Unis ne pouvaient en arriver à une nouvelle entente. Peter, associé du groupe Droit de la concurrence et Investissement étranger d’Osler qui a beaucoup écrit sur les questions de commerce international, donne des explications.

« Ce serait pire de ne pas avoir d’entente du tout, affirme Peter dans le Globe and Mail. Le prix de l’absence d’entente pourrait être la perte de l’ALENA actuel. »

Peter expose aussi le scénario le plus défavorable si le Canada et les États-Unis n’en arrivaient pas à une entente : « Le texte final de l’accord États-Unis – Mexique serait publié à la fin septembre; M. Trump donnerait un préavis de six mois de la résiliation de l’ALENA; les États-Unis et le Mexique signeraient leur accord bilatéral à la fin novembre; en 2019, le Congrès mettrait cet accord en œuvre tout en abrogeant les lois mettant l’ALENA en œuvre, et ainsi, le Canada n’aurait plus aucun accord commercial avec les États-Unis. »  

Si vous êtes abonné au Globe and Mail en ligne, lisez l’article de l’auteur John Ibbitson A bad NAFTA deal? Canada should take it and run (en anglais seulement).