Une nouvelle « carte imprévisible » dans les difficiles négociations de l’ALENA : le président élu du Mexique — Financial Post

Le 3 juillet 2018

L’associé d’Osler Riyaz Dattu confie au Financial Post que l’élection du président populiste du Mexique Andrés Manuel López Obrador pourrait avoir un effet d’entraînement sur la renégociation de l’ALENA. Dans cet article, l’auteure Jesse Snyder examine les répercussions de l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement mexicain sur les négociations de l’ALENA, y compris les points litigieux comme le projet américain d’instaurer des normes sur le salaire minimum dans l’industrie automobile au Mexique. Riyaz, spécialiste du commerce international qui a abondamment écrit sur la renégociation de l’ALENA, explique pourquoi ce changement du contexte politique pourrait donner lieu à des incertitudes dans les pourparlers.

« Cela pourrait creuser un fossé entre le Canada et le Mexique », précise Riyaz au Financial Post.

L’article poursuit en disant que les représentants des États-Unis avaient pressé le Canada d’adopter une position intransigeante à l’égard des questions de travail au Mexique, et que les diverses forces politiques pourraient constituer un facteur déterminant dans les résultats des négociations de l’ALENA.

Pour plus de renseignements, veuillez lire l’article de Jesse Snyder intitulé « There’s a new wildcard in our rocky NAFTA talks — Mexico’s populist president-elect », dans le Financial Post.