Osler se classe au premier rang des conseillers auprès des émetteurs et des preneurs fermes au premier semestre de 2019

Le 11 juillet 2019

Le Financial Post a annoncé ses classements pour le premier semestre de 2019, et Osler figure au premier rang des conseillers juridiques auprès des émetteurs et des preneurs fermes pour la valeur de l’ensemble des opérations de financement par emprunt et par action. Osler a offert ses conseils à des émetteurs dans 24 opérations conclues, pour un montant total de 16,9 milliards de dollars. Osler a aussi offert ses conseils à des preneurs fermes dans 20 opérations de placement par action et par emprunt, pour un montant total de 7,6 milliards de dollars. 

Dans un article à propos du classement, l’auteur Julius Melnitzer relate que les tensions commerciales et la possibilité de hausses des taux d’intérêt ont mis de la pression sur l’activité des émetteurs au premier semestre de 2019; toutefois, les perspectives pour le second semestre sont plus optimistes, en raison de l’apaisement des craintes à l’égard du resserrement de la politique monétaire.

Selon le Financial Post, dans l’ensemble, « 516 opérations de placement par action et par emprunt de sociétés et du gouvernement ont été conclues, soit une baisse de 12,7 pour cent par rapport au premier semestre de 2018. Cependant, en ce qui concerne le volume, on a mieux fait. Les émissions ont totalisé 215,1 milliards de dollars, ce qui traduit par une hausse d’à peine 4,1 pour cent par rapport à l’année précédente ». 

« Nous observons toujours un manque d’intérêt pour les grandes acquisitions qui nécessitent du capital supplémentaire; cela a eu des répercussions sur les émissions, autant du côté des emprunts que du côté des actions », a dit Desmond Lee, coprésident du groupe de pratique Marchés financiers d’Osler au Financial Post.

« La faiblesse dans les secteurs clés, comme l’énergie et les services publics, est en soi suffisante pour avoir un impact sur le nombre d’opérations, probablement beaucoup plus que les questions d’ordre politique, commercial ou économique. Et les autres secteurs, comme le cannabis, n’ont pas vraiment comblé l’écart jusqu’à maintenant cette année, a affirmé Desmond, qui souligne qu’il y a eu davantage d’opérations dans le secteur minier en 2019. C’est une excellente nouvelle qui est parfois ignorée », a-t-il déclaré. Et si les prix de l’or continuent de monter, cela pourrait contribuer à stimuler l’activité de mobilisation de capitaux dans l’univers minier. »

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