Où en est la diversité des genres dans les petits conseils d’administration? - Investment Executive

Andrew MacDougall

Le 14 Septembre 2020

Un article paru récemment dans Investment Executive examine les efforts déployés par les entreprises pour améliorer la diversité des genres au sein des conseils d’administration, ainsi que les résultats d’un rapport conjoint de l’organisme sans but lucratif Catalyst et du Club 30 % qui présente un aperçu des progrès réalisés par les plus importantes sociétés ouvertes canadiennes entre 2015 et 2019. Selon l’auteure Anne-Marie Vettorel, « [traduction] les importantes sociétés cotées en bourse nomment davantage de femmes dans leurs conseils d’administration – mais on ne peut pas en dire autant des plus petites sociétés ».

[Traduction] « Les plus importantes sociétés canadiennes sont en tête du peloton pour accélérer la présence des femmes dans les conseils d’administration », note le rapport ; toutefois, « les entreprises de toutes tailles des secteurs de l’indice TSX ont encore beaucoup de travail à faire dans ce domaine ».

L’écart en matière de diversité des genres entre les entreprises de tailles différentes existe pour diverses raisons, explique Andrew MacDougall, qui dirige la pratique de gouvernance d’entreprise d’Osler. Les sociétés plus importantes ont tendance à avoir des « [traduction] des conseils d’administration de plus grande taille », ajoute Andrew. Cela permet de plus facilement agrandir le conseil d’administration – et signifie également qu’il y a plus de chances qu’une personne quitte le conseil, ouvrant ainsi la possibilité de nommer une femme.

 [Traduction] « En ce qui concerne les plus petites sociétés, il y a bien évidemment moins de renouvellement, » explique Andrew. Les investisseurs institutionnels ont commencé à examiner les conseils d’administration des sociétés cotées de l’indice composé S&P/TSX composés exclusivement d’hommes. Toutefois, actuellement, les groupes comme Institutional Shareholder Services se concentrent vers l’ensemble de l’indice TSX, déclare Andrew à Investment Executive.

Pour plus de renseignements, nous vous invitons à lire, dans son intégralité, l’article d’Anne-Marie Vettorel, « Where’s the gender diversity on smaller boards? » dans le magazine Investment Executive. [En anglais seulement]