Que faut-il pour être un développeur de clientèle d’élite ? — Precedent Magazine

Joyce M. Bernasek

Le 28 mai 2020

Une partie de ce qui a fait le succès de Joyce Bernasek, associée chez Osler, au cours de sa carrière, c’est la préoccupation sincère pour les affaires et le succès de ses clients, dit-elle au Precedent Magazine. Joyce a été présentée dans un article rédigé par l’auteur Conan Tobias sur ce qu’il faut pour développer efficacement sa clientèle. L’article raconte le parcours de Joyce pour devenir « l’un des meilleurs développeurs de clientèle » chez Osler. Selon Joyce, il est important d’avoir également certaines habiletés relationnelles.

« Je sais écouter », déclare Joyce à Precedent Magazine. « Et je me préoccupe. Je me préoccupe des affaires de mes clients. Je me préoccupe de leur succès. Et je veux en faire partie. »

Lorsque Joyce est devenue associée au sein du Groupe services financiers chez Osler, elle dit que le cabinet l’a aidée à arriver à un « point tournant » dans sa carrière en l’envoyant à une conférence sur le développement de la clientèle par les femmes.

« Ce que j’en ai appris c’était que l’on ne peut probablement pas se voir comme un développeur de la clientèle en soi, mais l’on peut le devenir », dit-elle, tout en ajoutant qu’être extraverti n’est pas nécessairement la clé du succès d’un développeur de clientèle. « Je pense que l’opinion généralisée est à l’effet que les développeurs de clientèle doivent être extravertis. Le genre de personne qui se promène lors d’une soirée, serre la main de 50 personnes, reçoit un tas de cartes et est assez bruyant ».

Joyce affirme également qu’il est particulièrement important pour elle d’être stratégique lorsqu’elle participe à des activités de réseautage étant donné sa vie très occupée à la maison.

« J’ai trois jeunes enfants et un mari investisseur-banquier, donc nos horaires ne nous permettent pas vraiment de faire beaucoup d’activités en soirée », explique Joyce à Precedent Magazine. « Donc, je ne me rends pas aux soirées sans un minimum de recherche. Je recherche qui va être là, j’identifie qui je veux rencontrer et je vais les rencontrer ».

Joyce affirme également qu’il est très important de maintenir un contact régulier avec ses clients, en particulier pendant la pandémie COVID-19, pour leur transmettre qu’elle est là pour les aider.

« Chaque semaine, je suis en contact permanent avec 15 à 20 personnes », dit Joyce. « C’est un système répétitif et cohérent ».

« Si je travaille sur un sujet pour un client et j’en trouve un autre qui pourrait l’intéresser, je communique avec lui. Ce principe est d’autant plus important depuis que la situation COVID-19 a évolué. Il est encore plus important de rester en communication avec les clients maintenant et de leur transmettre que nous sommes là pour les aider ».

Pour plus de détails, veuillez lire l’article « What does it take to be an elite rainmaker? » de l’auteur Conan Tobias dans Precedent Magazine du 28 mai 2020.