L’entreprise peut-elle être une force pour le bien commun? – La Presse

Shahir Guindi, Ad. E.

Le 21 février 2022

Dans une lettre d'opinion publiée dans La Presse, le coprésident national d’Osler Shahir Guindi aborde la façon dont le milieu des affaires peut se mobiliser face aux enjeux sociaux. Bien que la crise sanitaire ait provoqué de nombreux chamboulements depuis les deux dernières années, le Canada connait une croissance économique notable. Pourtant, le fossé qui sépare les classes sociales ne cesse de se creuser. Selon l’article, les entreprises peuvent jouer un rôle significatif dans la résorption de ce problème.

Le milieu des affaires peut ainsi s’engager à réduire les inégalités en aspirant au double des objectifs de rendement et de bien et en adoptant des formules innovantes. L’ESG (environnement, société, gouvernance) est un mécanisme ayant gagné en popularité auprès de nombreuses entreprises. Cependant, il est nécessaire d’instaurer des initiatives plus agressives qui offrent des solutions concrètes à long terme.

Certains programmes d’investissements se démarquent ainsi avec leur vision davantage offensive. L’action positive de l’investissement à impact social en est un exemple. Par le biais de l’investissement, les chefs d’entreprise peuvent atteindre des rendements économiques, tout en laissant un impact positif sur la société. En investissant dans la microfinance, l’environnement, l’eau potable, les soins de santé, la réconciliation avec les peuples autochtones ou encore la construction d’écoles, Shahir Guindi affirme que les entreprises permettront de générer « un profit qui est mesuré par un impact social ».

Pour plus de renseignements, nous vous invitons à lire dans son intégralité la lettre d’opinion de Shahir.