Les détaillants qui veulent regrouper ou étendre leurs activités se préoccupent habituellement des questions de concurrence et d’antitrust, mais ces questions prendront encore plus d’importance dans une économie post-pandémie. Au moment où des entreprises vendent leurs actifs à d’autres sociétés, le Bureau de la concurrence du Canada surveillera la situation de près pour s’assurer qu’il ne s’établit pas de monopole sur les marchés et que les consommateurs sont protégés.
Que votre entreprise cherche à prendre de l’expansion ou à vendre des actifs, il sera essentiel pour son avenir que vous compreniez les lois applicables en matière de concurrence et d’antitrust, et que vous élaboriez des accords et des ententes qui y sont conformes. Il importe également de travailler avec une équipe de conseillers juridiques chevronnés, qui peuvent vous aider à évoluer dans le contexte des affaires qui est souvent complexe.
Le groupe Commerce de détail d’Osler a collaboré avec de nombreuses sociétés canadiennes prestigieuses relativement à diverses questions de concurrence et d’antitrust. Nous avons conseillé des entreprises sur des opérations transfrontalières et des questions de concurrence touchant la tarification, l’emplacement des magasins, la composition de la clientèle, la protection des données et plus encore.
Étant donné la rapidité avec laquelle le secteur du commerce de détail évolue, il ne faudrait pas que vos plans d’affaires soient minés par des enjeux de concurrence et d’antitrust. Assurez-vous de bien tracer votre chemin avant de conclure quelque entente que ce soit.