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Les clauses d’augmentation des prix permettent de faire face aux variations des coûts de la construction (webinaire)

Auteur(s) : Richard Wong, Andrew Wong

Le 11 mai 2022

Comme d’autres secteurs de l’économie, l’industrie de la construction connaît une volatilité et des augmentations des prix rapides dans presque tous les aspects de ses activités. Celles-ci ont entraîné une utilisation accrue et une adaptation des clauses d’augmentation des prix des matériaux dans les contrats de construction. Dans leur webinaire, Richard Wong, associé d’Osler et président du groupe du droit de la construction et des infrastructures, Andrew Wong, associé d’Osler en droit commercial, et leur invité Arif Ghaffur, métreur-arpenteur et directeur de la rédaction de Construction Economist, discutent des effets des variations des coûts sur le secteur de la construction et des mesures prises pour faire face à l’escalade des coûts.

Certaines variations des prix se sont révélées spectaculaires et ont perturbé l’ensemble du cycle de développement de projets. Les maîtres d’ouvrage réagissent en reportant des projets et en s’autoapprovisionnant. Dans certains cas, ils divisent les projets en plusieurs phases pour reporter les coûts. Si le projet génère des revenus dans un secteur de croissance, le dépassement des coûts n’est généralement pas assez important pour faire dérailler les économies du projet.

L’application d’indices lors de la fixation des prix des contrats est de plus en plus courante. Ceux-ci sont en général fondés sur les indices fournis par Statistiques Canada. En raison du décalage qui peut exister dans la collecte des données d’un indice, sa pertinence pose problème. Les clauses des contrats doivent être assez souples pour que des demandes puissent être faites et reçoivent des réponses de manière pragmatique, sans que les demandes deviennent un problème et puissent retarder un projet.

Regardez notre webinaire (en anglais seulement)