Passer au contenu

Sandra Abitan parle de la croissance du bureau d’Osler à Montréal, des défis et des leçons tirées de la pandémie et plus encore – Lexpert TV

Le 22 juillet 2021

Sandra Abitan, associée directrice du bureau de Montréal d’Osler et principale personne-ressource du groupe Insolvabilité et restructuration, s’est récemment entretenue avec Tim Wilbur, rédacteur en chef de Lexpert, dans le cadre d’une entrevue pour Lexpert TV. Leur conversation a porté sur différents sujets, de l’histoire du cabinet à Montréal et de la pratique de Sandra aux leçons que le cabinet peut tirer de la pandémie, et plus encore.

Alors qu’Osler célèbre ses 20 ans à Montréal, Sandra explique comment le cabinet s’est taillé une place et est devenu un leader dans le milieu des affaires de la ville.

« Osler a ouvert ses portes à Montréal en avril 2001, en partant de rien. Nous avons recruté des experts et des leaders reconnus dans nos principaux domaines d’activité et nous avons formé notre équipe. Deux décennies plus tard, l’équipe s’est constamment renouvelée et s’est agrandie. »

« Nos associés du bureau de Montréal sont des leaders et des innovateurs reconnus et de haut niveau dans leurs domaines d’expertise respectifs », poursuit-elle. « Nous cherchons toujours à améliorer l’expérience client, à fournir des conseils et des solutions de pointe, à rester au fait des progrès, à tenir nos clients informés, et à être des acteurs du changement dans notre secteur. »

Au début de la pandémie, la propre pratique en matière d’insolvabilité de Sandra a eu de nombreuses occasions d’innover lorsque des secteurs comme l’accueil et le tourisme ont vu leurs revenus tomber à zéro du jour au lendemain.

« Il n’existe pas de précédent dans l’histoire, dans mon histoire. Nous avons donc eu l’occasion de composer avec des situations uniques et de trouver des solutions novatrices. »

Cette créativité, selon Sandra, est ce qui permet à Osler de se démarquer.

« Chez Osler, nous sommes des innovateurs, qui stimulent le changement au sein de notre marché, toujours avec un seul objectif : servir nos clients de la manière la plus efficace, en fournissant les conseils essentiels aux entreprises qui font notre réputation. »

Sandra n’hésite pas à souligner qu’en plus de l’expertise et de l’expérience du cabinet, la culture du bureau et sa relation avec la ville en font un lieu de travail spécial, citant en exemple la Journée communautaire annuelle du bureau où, explique-t-elle, presque tout le personnel va faire du bénévolat auprès des organisations locales.

« Nous continuerons à investir des centaines de milliers de dollars pour faire progresser l’éducation juridique dans la province, et des centaines de milliers d’autres pour améliorer la qualité de vie au sein de notre communauté. »

« Je pense que nous combinons le meilleur des deux mondes ici à Montréal », ajoute-t-elle. « Nous disposons d’une plateforme intégrale unique qui a fait ses preuves, combinée à l’atmosphère cordiale et à la culture incomparable que nous avons dans notre petit bureau ici à Montréal. »

« Il y a un très bon esprit d’équipe qui règne ici à Osler à Montréal. La cordialité, le respect, l’attention et le souci des uns envers les autres, c’est assez spécial. Nous nous sommes tous ennuyés les uns des autres pendant ces derniers 15 à 16 derniers mois de pandémie, et nous sommes impatients de nous retrouver. »

Bien que Sandra prévienne que le retour au bureau soulève encore des questions, au cours de la pandémie, le cabinet « a tiré des leçons importantes et nous chercherons à intégrer certaines de ces leçons dans notre stratégie de retour au bureau », dit-elle.

« Il est important de créer les relations et de maintenir la culture, mais je m’attends à ce que la situation demeure fluide et qu’elle évoluera au fil du temps, à mesure que le monde qui nous entoure s’adaptera à ce à quoi la vie post-pandémique pourrait ressembler du point de vue des services professionnels. »

Peu importe ce que l’avenir nous réserve, Sandra prévoit qu’Osler continuera de progresser en tant que leader du secteur. Dans sa propre pratique dans le domaine de l’insolvabilité, elle reconnaît que « c’est encore un domaine très dominé par les hommes, en particulier dans la province de Québec, mais nous y travaillons et espérons que nous aurons plus de diversité et de représentation dans le domaine de l’insolvabilité à l’échelle du pays. »

« Un lieu de travail qui est diversifié et qui reflète la communauté au sein de laquelle nous vivons et travaillons est vraiment la clé du succès, et je suis fière de dire que nous le reconnaissons et que nous avons mis en place un certain nombre d’initiatives – internes et externes – pour assurer un changement réel et durable en matière de diversité, et que nous accordons une attention continue et claire à cette priorité », déclare Sandra.

« Chaque année, nous recrutons les esprits les plus brillants. C’est notre force, notre avenir, et c’est ce que nous allons faire pour poursuivre notre croissance : recruter les futurs leaders du secteur dès leur sortie de la faculté de droit. »

Regardez l’entrevue intégrale avec Sandra sur Lexpert TV (en anglais seulement).