Mieux vaut tard que jamais : les cabinets canadiens innovent — The American Lawyer

Michael Fekete

Le 3 décembre 2018

Mike Fekete, associé d’Osler, explique dans le magazine The American Lawyer que les activités du cabinet visent essentiellement à offrir de la valeur aux clients en combinant la technologie avec les meilleurs juristes. Dans son article, l’auteure Meghan Tribe se penche sur l’innovation juridique et les répercussions des nouvelles technologies dans le monde juridique. Elle y fait mention de la plateforme Osler à l’œuvre, qui permet au cabinet d’innover et de tirer parti des perturbations technologiques pour offrir une valeur accrue aux clients. Mike, associé du groupe Technologie et leader national de l’innovation d’Osler, explique l’importance de miser sur les nouvelles occasions et technologies.

« Les cabinets peuvent stagner, à leurs propres risques, ou ils peuvent tenter de mieux saisir les changements constructifs et de cerner les occasions d’en tirer parti », explique Mike à The American Lawyer.

Selon Mike, « les cabinets devraient montrer à leurs clients qu’ils peuvent offrir une valeur accrue en combinant la technologie, la réalisation de tâches répétitives à moindre coût, les processus améliorés et les meilleurs juristes. Il s’agit là du fondement de nos activités. »

Mike mentionne aussi qu’Osler saisit l’importance d’adopter une approche qui tient compte du point de vue du client.

« Nous mettons toujours l’accent sur le client. Nous nous demandons : "Si j’étais chef de la protection des renseignements personnels, qu’est-ce que j’aimerais avoir? Si j’étais conseilleur juridique responsable des ententes auprès d’une institution financière, de quels outils aurais-je besoin? Quels services abordables pourrais-je m’attendre à recevoir?" »

L’article fait également mention des outils d’autoassistance uniques récemment lancés par Osler, notamment le guide Faire des affaires au Canada, l’outil sur les avis de fusion et l’outil d’analyse de code Osler. Ceux-ci sont conçus pour répondre à tous les besoins des clients.

« Ces outils sont à l’image de notre approche, explique Mike dans cet article. Nous voulons que les clients consultent Osler lorsqu’ils veulent faire des affaires, et non seulement lorsqu’ils ont un problème. »

Si vous êtes abonné à The American Lawyer, lisez l’article de Meghan Tribe, Better late than never: Canadian firms are finding ways to innovate.