Nous sommes entrés dans la profession en 1862, année au cours de laquelle un jeune entrepreneur nommé Britton Bath Osler commence à pratiquer le droit dans le village de Dundas, en Ontario, situé à 70 km à l’ouest de Toronto. Il n’a que 23 ans et pourtant il a déjà ouvert deux bureaux (l’un à Dundas, l’autre à Hamilton) et jeté les bases de ce qui deviendra le premier chemin de fer de banlieue en Amérique du Nord.
En 1882, Osler s’établit à Toronto, capitale provinciale et deuxième ville canadienne en importance sur le plan des affaires, après Montréal. Il ne regrettera pas sa décision. Il forme un partenariat avec John Hoskin et plusieurs autres avocats. Une décennie plus tard, ils dirigent l’un des trois plus importants cabinets d’avocats au Canada. La dénomination actuelle du cabinet a vu le jour en 1902 lorsque le nom de l’associé Frederick Harcourt a été ajouté sur la porte d’entrée.
Peu de temps après ses débuts, le cabinet compte déjà parmi ses clients bon nombre de grandes sociétés canadiennes et d’autres entreprises qui vont se démarquer dans des secteurs émergents clés, notamment l’industrie ferroviaire et manufacturière, ainsi que les secteurs de l’assurance, des banques et des ressources naturelles. Le cabinet attire des sociétés internationales désireuses de faire des affaires au Canada, ce qui lui procure une perspective mondiale essentielle qui s’avérera très profitable lorsque, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, débutera l’ère des « négociateurs » et du droit moderne des sociétés.
En tant que chef de file en matière de droit des affaires, Osler attire la crème des jeunes avocats brillants et ambitieux, ainsi que d’anciens juges de la Cour suprême et d’anciens premiers ministres. Osler devient le cabinet d’avocats incontournable pour les clients confrontés à des enjeux et à des problèmes commerciaux de nature complexe.
En 2012, Osler a célébré son 150e anniversaire. En choisissant le thème
« Un engagement envers l’excellence », le cabinet a voulu non seulement célébrer un jalon de notre longue tradition de réussites, mais, plus important encore, rendre hommage à nos gens qui forment une équipe dévouée à nos clients et à notre collectivité.
Aujourd’hui, Osler continue à maintenir son statut de conseiller de confiance auprès des chefs de file canadiens et internationaux du monde des affaires. Nous aidons les organisations ambitieuses qui développent, défendent et transforment leur entreprise – une mission que s’était donnée Britton Bath Osler, cinq ans avant l’établissement de la Confédération.