Les sociétés de technologie financière — Canadian Lawyer

14 nov 2016

Selon un article publié dans Canadian Lawyer, les sociétés de technologie financière s’insinuent de plus en plus dans le secteur des services financiers, et pourraient avoir des répercussions défavorables sur les résultats des grandes banques du Canada. Dans son article, Luis Millan explique les avantages que pourraient présenter les sociétés de technologie financière par rapport aux grandes institutions financières traditionnelles, et indique ce qui pourrait placer les banques dans une position plus avantageuse. Kashif Zaman, associé du groupe des services bancaires et financiers d’Osler précise que l’un de ces avantages se résume à la taille des institutions.

« Les sociétés de technologie financière souhaitent bien franchement être souples et ne pas se doter d’une structure de gouvernance qui ralentirait leur processus de prise de décisions », souligne Kashif Zaman à Canadian Lawyer.

« Voilà ce qui les distingue des grandes institutions qui, à juste titre, se montrent plus prudentes à l’égard de toute participation à certains types d’activités. »

Kashif Zaman explique par la suite à quel point il peut être complexe tant pour les sociétés de technologie financière que pour les institutions traditionnelles de naviguer dans les méandres de cet univers hautement réglementé.

« La nature de la réglementation provinciale au Canada constitue l’un des défis auxquels les entreprises – et plus particulièrement les sociétés de technologie financière qui disposent d’un plus petit budget pour tenir compte de la conformité –  doivent faire face », ajoute  Kashif Zaman.

Nous vous invitons à lire, dans son intégralité, l’article Luis Millan, intitulé FinTech, publié dans Canadian Lawyer.