Les guerres de la technologie juridique sont lancées - Canadian Lawyer

Le 1er septembre 2017

Historiquement, la profession juridique a toujours été lente pour adopter les nouvelles technologies. Les cabinets d’avocats consacrent généralement moins de 1 % de leurs revenus à la recherche et au développement (la moyenne est de 5 % dans le secteur des services professionnels). Selon un article de Jim Middlemiss publié dans le Canadian Lawyer, il semble que cette tendance se renverse puisque de plus en plus de cabinets intègrent non seulement la technologie dans leurs pratiques, mais lancent également des incubateurs pour soutenir le démarrage d’entreprises de technologie juridique. En janvier 2016, Osler s’est associé avec la Legal Innovation Zone de l’Université Ryerson (LIZ), qui compte actuellement 15 entreprises dans son incubateur. Mara Nickerson, chef, Gestion de la connaissance, chez Osler est responsable du partenariat du cabinet avec la LIZ et elle décrit dans l’article les avantages d’appuyer les entreprises de technologie juridique.

En investissant dans le développement de nouveaux produits, explique-t-elle, le cabinet obtient un accès précoce à ces solutions et peut contribuer à les façonner. « Nous pouvons utiliser les technologies et participer à leur développement, dit-elle.

Nous cherchons à travailler avec des produits que nous allons utiliser », poursuit-elle, en donnant l’exemple de Codify, une des entreprises du portefeuille LIZ qui développe une technologie pour mieux suivre les lois et règlements.

Pour en savoir davantage, lisez l’article de Jim Middlemiss intitulé « Let the law-tech wars begin » dans l’édition en ligne du 28 août 2017 du Canadian Lawyer