Emmanuel Pressman
Le 7 octobre 2020
Un récent article du Financial Post examine l’activité du secteur des fusions et acquisitions au Canada, déclarant que « les fusions et acquisitions devraient continuer d’augmenter après une légère reprise au troisième trimestre alors qu’elles connaissaient un creux depuis plusieurs années, car la stabilité du marché et l’accès au capital donnent aux entreprises la confiance nécessaire pour négocier et fixer le prix des opérations ».
Dans l’article, les auteurs Madhvi Pokhriyal et Noor Zainab Hussain se réfèrent également aux données de Refinitiv, lesquelles indiquaient que « près de 40,9 milliards de dollars américains de fusions et acquisitions ont été annoncés au troisième trimestre, le montant le plus élevé depuis le début de la crise du coronavirus fin 2019, ce qui représente un bond de 200 % par rapport aux trois mois qui sont terminés en juin ». Cependant, ils notent également que d’après les données, ce montant est inférieur aux 50,7 milliards de dollars des opérations d’il y a un an.
« Il y a clairement des signes qui indiquent que nous amorçons la reprise, un dialogue beaucoup plus stratégique est en cours et les investissements de capitaux continuent d’être très actifs », déclare Emmanuel Pressman, président du groupe du droit des sociétés d’Osler.
L’article note également que les placements de titres ont également « repris dans les trois derniers mois jusqu’en septembre, alors que la reprise boursière qui a suivi quelques mois tumultueux au début de la pandémie de coronavirus a encouragé les émetteurs à accéder aux marchés pour recapitaliser ».
Pour obtenir davantage de renseignements, lisez dans son intégralité l’article de Madhvi Pokhriyal et Noor Zainab Hussain’s « Canada M&A emerges from pandemic lows with activity seen picking up » (en anglais seulement) dans le Financial Post.