Osler se classe au premier rang des conseillers auprès des émetteurs et des preneurs fermes en 2019

Emmanuel Pressman

Le 31 janvier 2020

Osler figure au premier rang des conseillers juridiques auprès des émetteurs et des preneurs fermes pour la valeur de l’ensemble des opérations de placement de titres de participation et de créance selon le classement du Financial Post des services-conseils sur les marchés financiers au Canada pour l’ensemble de l’année 2019 publié le 30 janvier 2020. Osler a offert ses conseils à des émetteurs dans 38 opérations conclues, pour un montant total de 26 milliards de dollars. Osler a aussi offert ses conseils à des preneurs fermes dans 37 opérations de placement de titres de participation et de créance, pour un montant total de 17 milliards de dollars.

Dans un article à propos du classement, l’auteur Geoff Zochodne discute des tendances du marché en 2019 ayant donné lieu à une hausse du nombre d’opérations de placement de titres de créance et à une baisse du nombre d’opérations de placement de titres de participation (par rapport à 2018). Selon les données du Financial Post, « des opérations de de placement de titres de créance et de participation totalisant environ 402,1 milliards de dollars ont été conclues par des émetteurs canadiens l’an dernier, en hausse de 12 % par rapport au total des opérations de 2018, qui s’élevaient à 358,9 milliards de dollars, mais en baisse par rapport aux résultats records atteints en 2017, soit 404,6 milliards de dollars ».

Emmanuel Pressman, président du groupe de pratique du droit des sociétés d’Osler, explique dans quelle mesure la vigueur des conditions de marché a stimulé les opérations en 2019 malgré certaines incertitudes.

« Malgré le nombre élevé de risques et de turbulences sur le plan géopolitique, ainsi que les prédictions et les pronostics de récession et de ralentissement de la croissance mondiale, les marchés ont fait preuve d’une grande résilience, précise Emmanuel dans le Financial Post. « En outre, la vigueur exceptionnelle des conditions de marché ainsi que sa résilience ont été très utiles, facilitant la conclusion d’opérations et la réalisation d’activités transactionnelles. »

L’article explique également dans quelle mesure l’année 2020 est porteuse d’espoir en termes de regain sur le plan des capitaux propres et de reprise du secteur de l’énergie au Canada.

Dans un article connexe publié dans le Financial Post et traitant des marchés des capitaux d’emprunt de sociétés, l’auteur Julius Melnitzer explique dans quelle mesure les activités des émetteurs canadiens ont repris de la vigueur au second semestre de 2019, à savoir la « deuxième année la plus active jamais enregistrée ». Selon les données du Financial Post, les émissions de titres de créance, « y compris les placements sur les marchés mondiaux par des sociétés canadiennes, ont atteint 208,3 milliards de dollars en 2019, ce qui constitue un record et une hausse de 17,8 % par rapport à l’année précédente ».

Michael Innes, associé d’Osler et coprésident du groupe de pratique des Marchés financiers du cabinet, explique dans quelle mesure l’incertitude entourant les taux d’intérêt a permis de stimuler cette activité.

« Un environnement présentant une stabilité à l’égard des taux et des rendements, mais une incertitude à l’égard des taux d’intérêt incite les personnes à tirer parti du marché alors qu’il est encore temps plutôt que d’attendre à 2020, alors que personne ne peut prédire ce qui arrivera », déclare Michael dans le Financial Post.

Michael présente également une rétrospective de 2019 et il nous livre ses réflexions sur ce que l’on peut attendre de 2020. 

« Pendant un certain temps, soit de la fin de 2018 au début de 2019, un événement n’attendait pas l’autre et je n’aurais jamais cru que 2019 afficherait d’aussi bons résultats », déclare Michael dans le Financial Post. « Je suis cependant d’avis que la réaction du marché face aux tendances macroéconomiques déterminera le rendement en 2020, dans la même mesure qu’elle l’a fait en 2019. »

Veuillez consulter tous les classements et lire l’article de Geoff Zochodne, FP Dealmakers : The year private capital unleashed its vast cash pile and moved public markets, ainsi que celui de Julius Melnitzer, FP Dealmakers: The year central banks fuelled the debt binge.

Grâce à ses bureaux à Toronto, Montréal, Calgary, Ottawa, Vancouver et New York, Osler est constamment reconnu comme l’un des cabinets de premier plan en matière de marchés financiers. Nous comptons parmi nos clients d’importantes sociétés canadiennes, des multinationales bien connues, des entreprises orientées vers l’entrepreneuriat et la croissance et des banques d’investissement canadiennes et internationales engagées sur les marchés des capitaux au Canada, aux États-Unis et à l’échelle internationale.