Le risque commercial lié au changement climatique est au premier rang des préoccupations des conseils d’administration de sociétés canadiennes – The Globe and Mail

Andrew MacDougall

Le 22 novembre 2017

Alors que le changement climatique se retrouve au premier rang des préoccupations des administrateurs de sociétés du Canada, l’associé d’Osler Andrew MacDougall affirme à The Globe and Mail que le manque de « normes définies » sur la manière dont les sociétés déclarent leurs risques liés au climat entraîne des incohérences. Dans son article, l’auteure Alexandra Posadzki examine la surveillance accrue relativement aux risques liés au climat à laquelle sont confrontés les conseils d’administration du Canada. L’article explique également que les sociétés subissent la pression des investisseurs et des parties intéressées, qui souhaitent qu’elles réduisent leur empreinte carbone. M. MacDougall, qui se spécialise dans la gouvernance d’entreprise, explique pourquoi il y a tant de travail à accomplir.

[TRADUCTION] « Il n’existe pas de normes définies sur ce que les sociétés doivent mesurer exactement et la manière dont elles doivent le faire et le déclarer, affirme M. MacDougall à The Globe and Mail. Les pratiques varient d’un émetteur à l’autre, non seulement en fonction de l’ampleur de la déclaration, mais aussi des éléments qui sont déclarés. »

Pour en savoir davantage sur les raisons pour lesquelles le monde des affaires canadien doit avoir conscience de l’incidence du changement climatique, cliquez ici.

Si vous êtes abonné à The Globe and Mail en ligne, lisez l’article complet d’Alexandra Posadzki, intitulé « Business risk from climate change now top of mind for Canada’s corporate boards » (en anglais seulement).